La Tibune publie ce tableau sur le succès (divers) de l'option de paiements du dividende en actions que près du CAC 40 offrait cette années.
Le paiement du dividende en actions était quelque peu tombé en déshérence on lui reprochait son caractère "dilutif" puisque l'action proposé en paiement est assortie d'une décote. Il est revenu en grâce il y' a deux ans quand un certain nombre de groupes industriels -du fait de leurs acquisitions - ou bancaires ont éprouvés le besoin de renforcer leur capital et leur structure de bilan.
En théorie, l'exercice de cette option devrait être binaire en fonction de l'évolution du cours de bourse: c'est avantageux financièrement ou pas pour l'actionnaire. La pratique montre que les résultats d'exercice sont plus contrastés du fait de la diversité des stratégie des actionnaires. Les investisseurs institutionnels par exemple arbitrent souvent en vendant dès l'annonce des conditions d'exercices de l'option le nombre de titres qu'ils recevront en paiement sans attendre la fin de la période d'exercice de l'option et être exposés au risque d'évolution du cours de bourse. Ce faisant - mais c'est fonction de la liquidité du titre- ils peuvent contribuer à peser sur le cours de l'action.
Les mouvements sur le marché de l'action sont assez "techniques".
Le paiement du dividende en actions en droit français est une option à l'initiative de chaque actionnaire. Elle est donc aléatoire comme en témoigne les résultats du tableau.
Elle est motivée par un souci de renforcement des fonds propres, pas par le fait que le cours est "bas", ce qui serait plutôt un contre argument (dilution).
Il y a 6 mois
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