On l'a déjà dit, on aime bien les analyses macoéconomiques de Eric Chaney, le chief economist de AXA IM. Voici le résumé de son diagnostic d'Octobre que l'on trouvera en lien:
"Ralentissement + incertitudes = confusion = volatilité
Le ralentissement mondial est devenu réalité, malgré les divergences entre régions.
Il ne va pas durer.
Etranges marchés: les obligations parlent de froid, les actions voient plutôt du chaud. Pourquoi?
1. L'économie américaine est engluée, c'est confirmé par l'ISM
2. L'économie allemande va bien, mais le ralentissement est en vue
3. La Banque du Japon repasse à l'action, la Réserve Fédérale va le faire, probablement pas la BCE
4. Les politiques de dévaluation compétitive redeviennent à la mode.
Ma position :
1. Les incertitudes macro-économiques risquent de durer jusqu'à ce que la Chine ré-accélère
2. Ceci devrai se produire dans les trois mois à venir
3. Les états de la zone euro et la BCE ont établi un cordon sanitaire autour des dettes souveraines fragiles
4. Pourtant, des secousses secondaires sur les marchés de dette de la zone euro sont encore possibles
5. Les craintes de déflation généralisée sont surfaites."
Le ralentissement mondial est devenu réalité, malgré les divergences entre régions.
Il ne va pas durer.
Etranges marchés: les obligations parlent de froid, les actions voient plutôt du chaud. Pourquoi?
1. L'économie américaine est engluée, c'est confirmé par l'ISM
2. L'économie allemande va bien, mais le ralentissement est en vue
3. La Banque du Japon repasse à l'action, la Réserve Fédérale va le faire, probablement pas la BCE
4. Les politiques de dévaluation compétitive redeviennent à la mode.
Ma position :
1. Les incertitudes macro-économiques risquent de durer jusqu'à ce que la Chine ré-accélère
2. Ceci devrai se produire dans les trois mois à venir
3. Les états de la zone euro et la BCE ont établi un cordon sanitaire autour des dettes souveraines fragiles
4. Pourtant, des secousses secondaires sur les marchés de dette de la zone euro sont encore possibles
5. Les craintes de déflation généralisée sont surfaites."
En lien l'analyse de Eric Chaney:
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