Suivant l’exemple de l’Occitane, Prada, qui cherche à se coter depuis plusieurs années, a décidé de s’introduire en bourse de Hong Kong, pour profiter de l’engouement asiatique pour le luxe, et des niveaux de valorisation qui en résultent.
Ce phénomène qui n’est pas nouveau – se coter sur une place étrangère offrant une meilleure valorisation – est troublant à l’heure de la globalisation, car il résulte d’une imperfection patente du fonctionnement des marchés.
Mais c’est un fait des marchés d’actions que de se constater encore ces écarts, entre places, même en Europe. C’est ce qui a justifié, dans le passé, que nombre de firmes «tech» se cotent au Nasdaq qui offrait des multiples de valorisation plus élevés et une meilleure connaissance de ces secteurs.
La question qui se pose –et ce fut le problème au Nasdaq- est de savoir si s’introduire aussi loin de ses bases –mais près de ses marchés dira-t-on dans le luxe – est viable dans la durée, et en particulier en cas de ressac de la bourse : on se déleste généralement d’abord des valeurs étrangères. L’avenir dira.
Ce phénomène qui n’est pas nouveau – se coter sur une place étrangère offrant une meilleure valorisation – est troublant à l’heure de la globalisation, car il résulte d’une imperfection patente du fonctionnement des marchés.
Mais c’est un fait des marchés d’actions que de se constater encore ces écarts, entre places, même en Europe. C’est ce qui a justifié, dans le passé, que nombre de firmes «tech» se cotent au Nasdaq qui offrait des multiples de valorisation plus élevés et une meilleure connaissance de ces secteurs.
La question qui se pose –et ce fut le problème au Nasdaq- est de savoir si s’introduire aussi loin de ses bases –mais près de ses marchés dira-t-on dans le luxe – est viable dans la durée, et en particulier en cas de ressac de la bourse : on se déleste généralement d’abord des valeurs étrangères. L’avenir dira.
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