Ce graphique du FT de Vendredi, reposant sur une source Thompson Reuters, met en exergue qu'un des moteurs de l'industrie de la banque d'investissement et de financement était en panne au cours du premier trimestre de cette année : l'activité M&A est faible et en net retrait sur 2011.
Ceci est important non seulement à cause des fees de M&A - qui sont somme toute assez marginales - mais parce que le mouvement de fusions et d'acquisitions est "l'engin" et le lubrifiant des activités de financement (Financement d'acquisitions, bonds, ECM) et des activités "dérivés" de hedging. Celles ci sont logiquement au plus bas en dehors des activités d'émissions obligataires qui visent à profiter des conditions de marché favorables et à poursuivre le mouvement de désintermédiation bancaire. Et ce d'autant que les structures financières des grandes entreprises sont solides et très "cash rich".
Mais ceci peut changer si l'environnement continue à s'améliorer et si une opération majeure venait à catalyser dans un autre sens l'air du temps. Comme le firent en 1998 l'OPA d'Olivetti sur Telecom Italia ou en 2006 celle de Mital sur Arcelor. A suivre...
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