Comme nous l'avons déja fait pour Danone et Pernod-Ricard nous avons mis en lien-via Boursorama- l'interview par Valérie Nau de Fabienne Lecorvaisier, qui a rejoint Air Liquide comme CFO au moment de la chute de Lehman Brothers. C'est l'occasion de faire un point sur la stratégie financière d'Air Liquide, l'évolution de sa relation avec les banques et les marchés, l'organisation de la Direction Financière.
Voici, en guise de "teaser" un extrait de l'interview que l'on trouvera en lien:
"...la part de l'obligataire représente désormais près de 70 % de nos financements. Avant la crise, la répartition entre financements bancaires et financements de marchés était plutôt de 50/50. Aujourd'hui, la liquidité revient progressivement sur le marché bancaire, et les coûts ont été divisés par deux par rapport à fin 2008 mais ils sont encore trois fois supérieurs à leur niveau d'avant crise.
Nous concentrons donc nos financements bancaires sur les pays où nous ne pouvons pas faire appel au marché ni aux prêts intra-groupes. Au total, nous recentrons nos relations bancaires autour d'une quinzaine de banques, là où nous en avions 65 en Europe ! Ces banques doivent être capables de nous financer à l'international. En contrepartie, nous leur confions la gestion de nos flux, nos opérations de change, de M&A... de manière à bâtir avec elles un partenariat équilibré et solide. "
-En lien l'interview réalisée par Valérie Nau:
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=7900a9754fde5d29ebf2226b3545d2d5
"...la part de l'obligataire représente désormais près de 70 % de nos financements. Avant la crise, la répartition entre financements bancaires et financements de marchés était plutôt de 50/50. Aujourd'hui, la liquidité revient progressivement sur le marché bancaire, et les coûts ont été divisés par deux par rapport à fin 2008 mais ils sont encore trois fois supérieurs à leur niveau d'avant crise.
Nous concentrons donc nos financements bancaires sur les pays où nous ne pouvons pas faire appel au marché ni aux prêts intra-groupes. Au total, nous recentrons nos relations bancaires autour d'une quinzaine de banques, là où nous en avions 65 en Europe ! Ces banques doivent être capables de nous financer à l'international. En contrepartie, nous leur confions la gestion de nos flux, nos opérations de change, de M&A... de manière à bâtir avec elles un partenariat équilibré et solide. "
-En lien l'interview réalisée par Valérie Nau:
http://www.boursorama.com/infos/actualites/detail_actu_societes.phtml?num=7900a9754fde5d29ebf2226b3545d2d5
-Le post passé sur Danone et Pernod-Ricard
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