On signalera deux contributions intéressantes sur ces sujets :
-un post de Jean-Florent Rérolle dans son blog qui élabore sur la bonne manière de prendre en compte les synergies escomptées dans les évaluations, en particulier dans les évaluations indépendantes. Il s’appuie dur le cas récent de Spérian qui a fait l’objet d’un OPA amicale du Fonds de Private Equity Cinven, puis d’une surenchère de 67 % d’Honeywell !
-un post de Jean-Florent Rérolle dans son blog qui élabore sur la bonne manière de prendre en compte les synergies escomptées dans les évaluations, en particulier dans les évaluations indépendantes. Il s’appuie dur le cas récent de Spérian qui a fait l’objet d’un OPA amicale du Fonds de Private Equity Cinven, puis d’une surenchère de 67 % d’Honeywell !
http://www.rerolle.eu/post/2010/06/06/Synergies-potentielles-et-valeur-financi%C3%A8re-d-une-entreprise
-un rapport d’un groupe de travail de la Société Française d’Evaluation (SFE), à la demande de l’AMF, pour définir une méthodologie d’évaluation des BSAAR (Bons de souscription d’actions remboursables). Le BSAAR est un instrument qui n’est pas facile à évaluer. Or, depuis 2005, on a assisté a une floraison d’émissions de BSAAR, soit sous forme d’OBSAR, soit de manière « autonome » par des mid-cap françaises. Ces BSAR sont souscrits par une catégorie de salariés (un groupe large de « managers ») de l’entreprise, les obligations, dans le cas des OBSAR, l’étant par le syndicat bancaire de la société. Ceci implique pour le Conseil d’administration de déterminer un prix équitable, pour les salariés souscripteurs mais aussi bien sûr pour les actionnaires. C’est l’objet du rapport en lien « note de travail sur l’évaluation des BSAAR » :
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