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samedi 7 janvier 2012

LBO : les nouvelles conditions de marché


Moins de leverage ( dette d'acquisition ramenée à 50% en moyenne) alors que les multiples d'acquisitions demeurent élevés remodèlent l'industrie du LBO.  C'est le thème de l'article du wsj en lien dont on a tiré les graphiques ci-desssus.
En lien:
http://online.wsj.com/article/SB10001424052970204331304577142911094483628.html

samedi 19 mars 2011

L'allant du marché des financements LBO

Source : FT

Ce graphique, publié par le FT cette semaine, et qui porte sur la période 1er janvier - 14 Mars de chaque année, illustre spectaculairement l'aggressivité retrouvée du marché des financements LBO aux Etats Unis. Il s'agit des financements de remontée des dividendes des LBO aux Etats Unis (ce que l'on appelle improprement "recapitalization") par des financements bancaires ("loans" en violet) ou par des émissions High Yield en vert).
Comme on le constate, ces opérations, qui avaient disparu en 2008 et 2009, ont repris en 2010, et encore plus fort sur les premiers mois de 2011.

jeudi 30 décembre 2010

Le "pic de refinancement" des LBO en 2014-2015

Ce graphique de la Lex Column rappelle l'échéance de refinancement qu'a devant lui le monde des LBO, qui est liée à la vague des grands LBO 2006-2007. Ce pic est parfaitement absorbable et il le sera d'autant plus que les sociétés sousjacentes se porteront bien et bénéficieront d'une bonne croissance. Seule chose assurée : le coût de ce refinancement sera beaucoup plus onéreux.

dimanche 20 décembre 2009

Ceci n'est pas le Fuji-Yama mais la maturité des dettes LBO en Europe

Ce graphique est tiré d'une étude de Standard & Poor's et il montre que le problème de la dette des LBO en Europe s'étale dans le temps car i) elle a été généralement négociée ou renégociée en 2006-2007 ii) et avec pas mal de remboursements in fine (et non pas amortis annuellement). De surcroît les convenants (les ratio à respecter) négociés à l'époque étaient souvent assez "lâches". Tout ceci étale dans le temps le sujet. Mais cela peut constituer aussi une bombe à retardement.

mardi 17 novembre 2009

Les LBO face à la crise

Une étude de l'Afic montre que le dépôt de bilan des entreprises sous LBO ressort à seulement 1,4 %.Toutefois, 22,8 % des sociétés ont rompu leurs engagements bancaires contractuels ("covenants") -soit près de une sur quatre -et 14 % n'ont pas pu respecter leurs échéances de dettes (à lire dans les Echos et la Tribune).Est ce beaucoup? Oui car les convenants négociés pendant la période de la bulle d'endettement (2005-2007) étaient souvent lâches et on est pas encore sorti de la crise. Y a t'il un risque vital pour les entreprises concernées? Non ,car elles sont viables normalement mais ont été trop endettées. Donc une restructuration financière doit suffire quand un problème survient...ce qui peut être douloureux pour les créanciers mais encore plus pour les actionnaires (équity).