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samedi 17 mars 2012

Equity premium


Graphique évocateur de The Economist sur la prime de risque des actions, naturellement positive sur longue période (1900-1999) et fortement négative au cours de la décennie 2000 durant laquelle les obligations d'Etat, le taux "sans risque", a bien mieux performé. Quid de l'avenir, interrogation clé pour tout investisseur?
Voir l'article de The Economist en lien:

samedi 15 janvier 2011

Le boom des IPO internet aux Etats Unis



Le pipe des IPO internet aux Etats Unis est bien fourni : Facebook, Groupon, Demand media, Lindkln, Zynga...Et les valorisations sont impressionnantes.
La dernière en date est celle de Groupon qui serait évalué à 15 Mds $ selon Dealbook en lien:
Le Journal du Net explique ce qu'est le business model de Groupon:

Ces évaluations qui grimpent si vite suscitent un débat: assiste t'on à une nouvelle bulle internet? Non dit John Battelle (en lien) qui explique que "ce n'est pas le même film" car les sociétés en question ont des revenus et même des profits alors qu'internet s'est définitivement installé dans la vie quotidienne:
http://battellemedia.com/archives/2011/01/no_in_fact_we_havent_seen_this_movie_before
Dans son blog AVC, Fred Wilson, un VC opine:

Prenant un peu de recul, The Research Puzzle s'interroge sur la manière de garder la tête froide quand il s'agit d'évaluer Facebook, Groupon et Apple:

Le dernier mot sur l'évaluation peut être donné aux réflexions du Professeur Aswath Damodaran à propos de Facebook que nous avons déjà mentionné dans un post précédent:

dimanche 8 août 2010

La prime de risque actions aux Etats Unis


Trois chercheurs américains de Caltech, Bradford Cornell, Robert Arnott et Max Moroz, dans une recherche récente "The equity premium revisited " viennent de réactualiser les calculs, faits en 2000, par French et Fama, sur l’estimation de la prime de risque des actions américaines.
Ils concluent que cette prime de risque converge vers une fourchette 4 – 4,5 % tant pour la période 1872 – 1950 que pour 1951 – 2008.
On trouvera en lien le post de cxoadvisory qui commente la recherche et la recherche elle-même.



-le post de cxoadvisory:
http://www.cxoadvisory.com/equity-premium/the-equity-risk-premium-through-2008historical



-la recherche de Caltech:
http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=1651196

jeudi 29 juillet 2010

Damodaran revient sur la question du “taux sans risque » dans les évaluations

Le « taux sans risque » qui est normalement le taux des obligations d’Etat est un des fondements de la théorie des marchés efficients et des évaluations. Mais que faire quand la crise financière des Etats suggère que le taux sans risque ne l’est plus tant que cela ?
C’est le sujet que prend à bras le corps le Professeur Aswath Damodaran, de NYU – Stern School of Business, grand spécialiste des questions d’évaluation, dans sa dernière recherche « Into the Abyss: What If Nothing is Risk Free?” (en lien).

En voici le résumé :
“In corporate finance and investment analysis, we assume that there is an investment with a guaranteed return that offers both firms and investors a “risk free” choice. This assumption, innocuous though it may seem, is a critical component of both risk and return models and corporate financial theory. But what if there is no risk free investment? During the banking crisis of 2008, this question came to the fore, as investors began questioning the credit worthiness of US treasuries, UK gilts and Germans bonds. In effect, the fear that governments can default, hitherto restricted to risky, emerging markets, had seeped into developed markets as well. In this paper, we examine why governments may default, even on local currency bonds, and the consequences. We also look at how best to estimate a risk free rate, when no default free entity exists, and the effects on both investors and firms. In particular, we argue that the absence of a risk free investment will make investors collectively more risk averse, thus reducing the prices of all risky assets, and induce firms to borrow less money and pay out lower dividends.”

A lire par tous les évaluateurs, en lien :

jeudi 3 juin 2010

L'hyper-optimisme des analystes financiers


(Cliquer pour agrandir)

Ce graphique de Mac Kinsey, tiré de Big Picture, illustre le décalage année après année le décalage entre les prévisions des analystes financiers et la réalité constatée in fine. C'est une étude que nous avons déjà évoqué dans un post précédent.

Notre post passé sur le sujet :
http://investmentbankerparis.blogspot.com/2010/05/une-etude-de-mac-kinsey-met-en-exergue.html

jeudi 18 mars 2010

Le perpétuel débat sur la prime de risque du marché actions




C'est un débat traditionnel -le sujet est crucial dans les travaux d'évaluation financière - et perpétuel car la prime de risque est très variable selon la conjoncture des marchés.
Le post en lien de Capital Spectator fait un point actualisé sur le sujet et renvoit aux principales études récentes.
Voir aussi le post joint de CXO: